Nous avons tous en tête cette image de notre enfance ou nous cassons un os des vœux, souhaitant de plus profond de notre cœur obtenir le plus gros morceau afin que notre rêve se réalise. Mais que savons exactement de cette tradition ?
En réalité, le fait de briser cet os, la furcula de son nom scientifique, nous vient d'un ancien peuple européen présent vers l'an 700 avant notre ère dans le Nord de l'Italie actuelle : les Étrusques.
Les devins de cette culture avaient pour habitude d'utiliser cet étrange os dans certains de leurs rituels magiques. Proche du sacrifice d'animaux en de nombreux points, cette technique est associée par beaucoup à une forme de sorcellerie.
La légende raconte que les Romains ont ensuite repris cette tradition. Cependant, les poulets se faisant rares vu l'augmentation formidable de leur population, les citoyens devaient se partager les os. La coutume associée au porte-bonheur que nous connaissons aujourd'hui était née.
À force de conquêtes miliaires, les Romains répandirent cet usage dans de nombreux coins d'Europe. Porte-bonheur romain au départ donc, l'os des vœux est aujourd'hui commun à tout un tas de peuples du continent.
Lorsqu'il est question de choisir un collier porte-bonheur, la plupart des gens cherchent un symbole ancien qui aurait fait ses preuves au cours de l'histoire. Pour vous comme pour eux, nous avons une bonne nouvelle : c'est précisément le cas de ce collier !