Bague du serpent enroulé
- Prix normal
- €19,90
- Prix réduit
- €19,90
- Prix unitaire
- par

Payement sécurisé

Boutique de France

Retour facile

Livraison gratuite
Cette bague du serpent enroulé est détentrice de grands pouvoirs qui peuvent clairement faciliter la vie quotidienne.
- Le serpent est un animal associé à des vibrations très anciennes, primitives
- Présence et capacités énergétiques très fortes
- Associé au fil des siècles à des capacités de guérisons exceptionnelles
- Matériau : alliage de zinc
- Largeur du corps du serpent : 4 mm
- Taille auto-ajustable
- Remboursement TOUJOURS possible (voir notre politique de retour)
- LIVRAISON STANDARD OFFERTE
Le serpent... Quel sens prend-il ici ?
C’est clair : le serpent est un animal très particulier duquel nous pouvons tirer de grands messages. Son utilisation comme porte-bonheur n’a donc rien d’étonnant.
Basiquement, cet animal est connecté à des énergies primitives et à une espèce de force vitale originelle.
En tant que symbole porte-bonheur amérindien, le serpent est associé à l’union d’un pouvoir masculin qui soigne à un autre féminin, plus sacré, lié à la maternité.
Tout cela peut sembler bien abstrait, mais l’idée principale est ici celle d’un animal total, expression d’une énergie originelle restée pure et absolue.
Dans les mythologies grecques et romaines, les serpents symbolisaient le pouvoir de guérison des sages. Le dieu de la médecine lui-même, Aslcépios, travaillait avec eux, usant de leurs pouvoirs pour guérir les hommes.
De nos jours encore, il n’est pas rare que des guérisseurs traditionnels aillent chercher du côté du serpent pour régler certains problèmes de leurs patients, notamment les maux spirituels comme les blocages et les fausses-routes.
À ce titre, porter ce type de bague, résolument imprégnée de l’énergie primitive de cet animal sacré, peut être un moyen de remédier à ce genre de soucis.
Bref, cette idée d’une guérison par la présence énergétique du serpent étant appuyée par des cultures aux spiritualités parmi les plus profondes, sans doute ferions-nous donc bien de nous en inspirer à notre tour, vous ne pensez pas ?