Porte-bonheur japonais
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La porte-bonheur japonais : entre tradition et modernité
Maneki Neko, Omamori et Daruma : si ces termes vous sont étrangers, vous feriez bien de vous intéresser aux porte-bonheur japonais.
Le Japon est un pays des plus étonnant. Cette nation est connue pour avoir su conserver ses traditions millénaires tout en enfonçant les portes de la modernité. Si des coutumes nous ont été transmises, c'est sans doute pour une raison.
Notre équipe est d'avis de dire qu'il n'y a rien qui persistance dans... Voir plus Voir plus
La porte-bonheur japonais : entre tradition et modernité
Maneki Neko, Omamori et Daruma : si ces termes vous sont étrangers, vous feriez bien de vous intéresser aux porte-bonheur japonais.
Le Japon est un pays des plus étonnant. Cette nation est connue pour avoir su conserver ses traditions millénaires tout en enfonçant les portes de la modernité. Si des coutumes nous ont été transmises, c'est sans doute pour une raison.
Notre équipe est d'avis de dire qu'il n'y a rien qui persistance dans le temps sans être efficace. Dans un pays qui a connu la rigueur des Shogun et des samouraïs, avoir su conserver autant de traditions (divinités et esprits, cérémonies traditionnelles, etc) est un véritable exploit.
Le sujet qui nous intéresse le plus, et donc sur lequel notre expertise est la plus grande, est celui des porte-bonheur. Autant vous dire, qu'avec le Japon, nous avons eu de quoi faire.
Des Maneki Neko aux éventails, et passant par la figurine Daruma, le porte-bonheur japonais tient une place centrale dans le vie de nombreux nippons restées fidèles à leurs origines.
Les racines culturelles du pays du Soleil levant sont multiples. On pourrait citer le Shintoïsme, l'influence du Bouddhisme... on encore la mer du Japon, élément essentiel de la civilisation japonaise.
Tout compte fait, il n'y a qu'une chose de sûre : la situation d'isolement géographique qu'à connu le Japon lui a donné une culture forte et terriblement indépendante. En fait, l'essence de cette civilisation est tout bonnement unique, les porte-bonheur japonais aussi.
Ceux que nous vous offrons ici respectent eux aussi à ce critère. Ils sont originaux, et possèdent tous une histoire propre. Ce sont, chacun de ces porte-bonheur japonais, de petites parties de l'histoire de ce pays que nous désirons vous faire découvrir.
Une culture riche à l’histoire millénaire
Les premiers êtres humains à avoir poser le pied au Japon, passant en fait de l’Asie à l’archipel nippon par la mer alors glacée, l’ont fait il y a plus de 35000 ans. Autant vous dire que la culture japonaise ne date pas d’hier
Les archéologues et historiens y placent même les premières traces d’utilisation de poterie. Comme quoi, dès le tout début, la civilisation japonaise s’avérait très prometteuse ! (Cela, l’histoire le confirma d’ailleurs plus tard).
De l'Antiquité japonaise jusqu'à nos jours, de nombreux régimes et dynasties se sont donc succédés à la tête du pays. Nous pouvons notamment citer les Kofuns, les Asuka, les Heian, la période Edo et enfin la restauration Meiji.
Chacune de ces familles marqua la culture du pays… et donc le sujet du porte-bonheur japonais !
Bref, s’il y a bien une chose à retenir de l'histoire du Japon, c'est son caractère interrompu. Nous pouvons en effet retracer une ligne de transmission claire entre les premiers empereurs et celui qui, aujourd'hui encore, règne symboliquement sur le peuple japonais. (Symboliquement oui, car le Japon est tout de même une démocratie avec un parlement.)
Intéressons-nous donc maintenant à quelques porte-bonheurs japonais, à quelques objets et symboles réputés pour apporter chance et bonheur à ceux qui les possèdent.
L’omamori, un porte-bonheur japonais vraiment emblématique !
À peu près tous les sanctuaires et temples au Japon vendent des omamori (en français, cela se traduirait par quelque chose comme « amulette sacrée de protection »). En fait, le mot «omamori» vient d’un autre mot japonais, mamoru (qui signifie «protéger»).
Il s'agit donc bien d'une amulette, oui, mais qui possède un petit quelque chose de plus que celles présentes dans cette collection.
Si vous recherchez le premier exemplaire de ces amulettes de chance japonaises, vous arriverez sans doute à l’ère Jomon, une période du Japon de 3000 à 1000 ans avant notre ère. ... Nous parlons donc ici de porte-bonheurs japonais très (mais alors très) anciens!
Concrètement, un omamori est en fait composé d’un morceau de papier contenant des prières, symboles, kanji et autres bénédictions placé dans une petite pochette aux couleurs vives et richement décorée.
De nos jours, ce sont essentiellement des prières ou des inscriptions sacrées dans de petites
Historiquement, les prêtres japonais ont sans doute pu penser que mettre des bénédictions sur papier permettraient aux gens de constamment les avoir sur eux, créant ainsi des porte-bonheurs efficaces et faciles à transporter… Malin !
Si vous choisissez d’acquérir un omamori ce que nous vous conseillons vivement !), vous devriez toujours l'avoir sur vous. Cependant, si c'est trop difficile et que vous n’y arrivez pas, vous pouvez le garder à la maison dans un endroit propre et sain.
En tout cas, comme nous l’avons dit, l’omamoji est une véritable institution au Japon. Chaque lieu de culte produit les siens, apportant ainsi à chaque fois sa petite touche, son petit quelque chose en plus qui rend chaque omamoji porte-bonheur différent.
Voici donc des porte-bonheurs japonais qui se prêtent parfaitement aux collections en tout genre !
Le daruma, une figurine qui exaucera vos vœux
Les darumas sont de petites poupées porte-bonheurs en bois produites dans la région de Takasaki, dans la préfecture de Gunma.
Elles constituent une partie importante des traditions du Nouvel An au Japon, leur utilisation étant ancrée dans le folklore local depuis des siècles.
D’apparence assez rondes, les poupées darumas représentent une sorte de bonhomme rouge, blanc et noir ayant la particularité de ne pas avoir d’yeux… ou plutôt de ne pas avoir de pupilles.
Ce choix dans la conception est lié à la légende de Bodhidharma, le moine légendaire qui amena le Bouddhisme au Japon directement depuis la Chine.
(Eh oui, les histoires de la Chine et du Japon sont assurément liés. Il suffit de regarder ces porte-bonheurs chinois traditionnels pour s'en convaincre !)
Pour la petite histoire, un jour, Bodhidharma se serait enlevé les yeux pour se punir d’avoir rompu une méditation longue de plusieurs décennies.
Au final, peu importe la raison, ce qui nous intéresse avec tout cela, c’est la fonctionnement de ce porte-bonheur japonais.
Concrètement, lorsque vous recevez un daruma, vous devez peindre un de ses yeux et faire un vœux. Lorsque votre souhait se sera réaliser, vous pourrez alors peindre le deuxième.
Cette façon de faire présente un véritable avantage : vous pourrez ainsi facilement distinguer les poupées porte-bonheurs qui fonctionnent (celle qui ont deux yeux peints donc) des autres.
Quoi qu’il en soit, la poupée daruma sont aujourd’hui une véritable institution au Japon, certains le voyant même comme la mascotte du pays.
Les poupées kokeshi, d’autres figurines pour les petits
Les poupées kokeshi constituent un autre modèle de poupée en bois traditionnellement conçues pour les enfants.
Très simples dans leur fabrications, ces porte-bonheurs japonais sont fait d’un gros bâton en bois pour le corps, au-dessus duquel se trouve une boule pour faire la tête. Vraiment, un enfant aurait pu l’imaginer.
Créée à l'époque d'Edo, le but premier de la poupée kokeshi était de donner aux ouvriers quelque chose à faire pendant l’hiver pour éviter qu’ils s’ennuient. Ils pouvaient alors tailler ces figurines porte-bonheurs faciles à faire et les offrir aux petits de leur famille.
Avec le temps, un sens plus magique s’est collé aux kokeshi : de nos jours, il est en effet dit qu’il protège les plus petits, leur apportant santé et les empêchant de se blesser lorsqu’ils jouent.
Dans certaines régions du Japon, il est même dit que les poupées kokeshi seraient habitées par des esprits bienveillants de la montagne qui passeraient par elles pour veiller sur nos enfants.
Certains contes et légendes racontent comme, en prenant le contrôle de ce poupées porte-bonheurs japonaises, ils combattent les démons et éloignent les malédicitons.
Quoi qu'il en soi, le kokeshi est aujourd’hui teinté de fantastique, ce qui en fait un cadeau idéal pour tous ceux qui veulent apporter un peu du Japon authentique dans leur vie.
Le Maneki Neko, un adorable chat japonais
Le Maneki Neko, également connu sous le nom de « chat de la fortune » ou « lucky cat » en anglais, est sans doute le porte-bonheur japonais qui a su le plus conquérir le monde.
Cela se comprend : avec sa petite patte qui semble nous faire signe, il est indéniable que le Maneki Neko est amusant, voire carrément adorable.
En Japonais, « Maneki » signifie littéralement « qui fait signe » tandis que « Neko » se traduit par chat. Il est donc assez facile de comprendre ce qu’est cette petite figurine !
Tout cela ne nous dit toutefois pas pourquoi donc ce chat est-il devenu un porte-bonheur japonais si populaire.
En fait, le Maneki Neko est censé attirer chance et fortune à ceux qui le placeraient chez eux. Restaurants, magasins, entreprises : de nombreux commerçants choisissent d’ailleurs d’en placer un exemplaire à côté de leur caisse pour ses effets sur la prospérité de leur établissement.
Si vous réfléchissez bien, vous avez d’ailleurs sans doute déjà vu des Maneko Neko : la plupart des restaurants asiatiques en ont un quelque part dans leur salle.
D’accord, mais dans le faits, pourquoi donc un chat qui fait signe pourrait bien porter chance ?
La raison est simple.
Selon la légende, un marchand fut un jour prit dans terrible tempête, de celles que l’ont ne voit que quelques fois dans sa vie. Passant près d’un arbre, il voulut y trouve refuge le temps que la pluie s’arrête.
C’est alors qu’il vit passer un chat étonnant qui sembla lui faire signe de la patte. Curieux, l’homme suivit l’animal jusqu’à un temple situé non loin. Lorsqu’il sorti une fois le beau temps revenu, il vit son arbre carbonisé, touché par le tonnerre quelques instants plus tôt.
Depuis ce jour, le Maneki Neko est un porte-bonheur japonais très populaire.
L’origami, des pliages aux milliers de sens
Nous ne pouvions pas parler des porte-bonheurs japonais et passer à côté de origamis.
Le principe est de faire un pliage à partir d’une seule feuille de papier, et ce sans aucune découpe, pour former des formes et des figures.
L’origami est un art et une véritable institution au Japon, au point tel que cette pratique soit devenue l’un des symboles de la culture nippone.
Durant la période féodale japonaise, l’origami était d’ailleurs étudié comme une véritable science, au même titre que la géométrie ou les mathématiques.
Les historiens pensent que ces petites pliages porte-bonheurs sont apparus sur l’archipel plus ou moins en même temps que l’invention du papier en Chine. L’art de l’origami est toutefois réellement devenu populaire durant la période Edo (17, 18 et 19ème siècles au Japon).
Lorsqu’il est pratiqué selon les règles de l’art, l’origami est une forme de méditation qui permet de vider son esprit, de ressentir une meilleur énergie et d’augmenter nos niveaux de bien-être.
Si certains pliages sont considérés comme des porte-bonheurs au Japon, cela pourrait don bien venir de l’état dans lequel le pratiquant est lorsqu’ils les créent…
Bref, de nos jours, ce sont des millions de personnes à travers le monde (de tout âge et de tout pays) qui pratiquent cet art millénaire, profitant des nombreuses vertus d’apaisement et de relaxation qu’il leur apporte.
Petit renseignement supplémentaire: il existe une légende célèbre au Japon qui dit que celui qui plié mille grues papier verra un de ses vœux se réaliser.
Mille porte-bonheurs japonais à réaliser soit même en échange d’un souhait ? Le pari est tentant.
L’omikuji, de petites pensées à recevoir dans les temples
Assez semblables aux omamoji, les omikuji sont des morceaux de papier contenant des bénédictions… ou parfois même des malédictions.
Eh oui, il a une part de hasard énorme dans la tradition de l’omikuji. Concrètement, vous ne pouvez pas savoir à l’avance si vous allez tomber sur une pensée bonne ou mauvaise.
Si vous voulez toutefois vous risquer au jeu, il faudra vous rendre dans un des nombreux temples au Japon qui proposent des omikuji.
Une fois sur place, vous piocherez une petit morceau de bambou dans un énorme sac en contenant des dizaines. Sur le bois se trouvera un numéro qui correspond à un casier.
Ouvrez alors le casier et vous y trouverez votre bénédiction (ou votre malédiction, vous suivez ?).
Certains comparent en ce sens les omikuji à une sorte de grande loterie. Il vous est en effet impossible de savoir à l’avance si vous tomberez sur un porte-bonheur japonais capable de changer votre vie ou un puissant sort qui risquerait de la détruire.
Pas d’inquiétude toutefois : si vous êtes tombé vous pourrez (contre payement aux moines du temple) l’abandonner dans une boite prévue à cet effet. Cette tradition est donc au final plus amusante que risquée.
A contrario, les omikuji porte-bonheurs seront ramenés à la maison, où ils protégeront la personne chanceuse qui l’aura reçu.
Les ema, pour que les dieux exaucent nos souhaits
Si vous avez déjà visité un temple ou un sanctuaire de l’archipel nippon, déjà vous avez de la chance.
Ensuite, vous avez forcément vu des ema.
Nous parlons de petites plaquettes de bois marquées de prières, de souhaits ou de pensées qui décorent par milliers les murs de certains lieux de culte.
Concrètement, les emas sont des porte-bonheurs japonais qui permettent à ces messages d’êtres « portés aux quatre vents », se répandant à travers le monde.
Cette drôle d’idée vient de ce qui se trouve ou dos de l’ema. Si vous regardez bien, vous y verrez en effet un cheval.
Considéré dans la tradition japonaise comme le véhicule des dieux, la présence de cet animal permet à l’essence de la tablette (basiquement, aux mots écrits dessus) de se répandre et d’embellir le monde.
En général, les visiteurs font de ces plaquettes porte-bonheurs le vecteur de leurs désirs, y demandant amour, santé ou succès.
La carpe, un porte-bonheur entre cerf-volant et poisson national japonais
Au Japon, la carpe est un grand symbole de chance et de réussite notamment associé à la persévérance et à l’abnégation face à l’adversité.
Vraiment, les valeurs portées par ce porte-bonheur sont parmi les plus belles.
Selon la légende japonaise, si une carpe koï réussissait à remonter les rivières jusqu’à atteindre un lieu appelé « la porte du Dragon », elle peut alors se transformer en dragon.
C’est sans doute cette histoire qui a fait de la carpe japonaise le symbole de persévérance que nous connaissons aujourd’hui.
Originaire de Chine, ce poisson aux couleurs souvent vives est arrivé au Japon et en Corée il y a quelques siècles de cela. C’est toutefois sous l’influence d’empereurs, de shoguns et d’autres chefs que leur culture a pris son essor, posséder des carpes koïs étant vue comme un signe de richesse.
Si vous avez un jour la chance de visiter le Japon le jour de la fête des enfants (une fête parmi les plus emblématiques du pays), vous verrez d’ailleurs d’étranges cerfs-volants porte-bonheurs japonais en forme de carpe flotter un peu partout.
Connus sous le nom de « koinobori », c’est jouet sont en fait accroché dans les rues et les jardins pour attirer chance et bénédictions sur les garçons des familles.
D’autres animaux porte-bonheurs japonais
La Japon est un pays à la culture extrêmement riche, et décrire le sens symbolique de chaque animal qui s’y trouve prendrait des mois (au bas mot). Nous allons tout de même ici nous arrêter sur les plus connus.
Les Japonais considèrent les papillons comme les porteurs des âmes des morts. Lorsqu’un papillon s’envole au ciel, cela est un symbole de joie et de la légèreté de la vie.
Les grenouilles, elles aussi, sont considérés comme des animaux porte-bonheurs dans une bonne partie du Japon. Concrètement, les paysans les ont associées à la pluie, à la fertilité et à la fécondité. Sans doute cela vient-il du nombre impressionnant d’œufs (1000 à 2000) que pondent leurs femelles.
En Japonais, le mot « grenouille » se dit « kaeru », ce qui se prononce de la même façon que le mot « retourner ». Ainsi, la grenouille est aussi devenue un porte-bonheur japonais lié aux retours (des êtres chers, de la réussite, de la prospérité, etc).
Le chien viverrin (un animal proche du raton laveur) est connu pour être une espèce particulièrement espiègle et amusante, mais aussi pour maitriser l’art de la discrétion et du déguisement à la perfection.
Il existe d’ailleurs une divinité japonaise aux traits de chien viverrin, le Tanuki, qui peut teinter notre destin de chance et de bonheur si le cœur lui en dit.
Dernier animal japonais emblématique, la grue est un symbole de bonheur et de vie dans toute l’Asie.
Au Japon, la grue (alors appelée tanchozuru) est en plus associée à la longévité, sans doute à cause d’une légende qui voudrait que cet oiseau impressionnant puisse vivre mille ans.
Sinon réfléchissons bien, chacun des ces animaux a sa place dans une spiritualité bien particulière : le zen japonais.
Voilà, la piste est lancée? À vous d'en faire ce que vous voulez.
Les dieux de la chance de la tradition shinto
Un autre élément majeur de la culture japonaise est la quantité impressionnante de divinités qu’ils vénèrent.
Par la religion shinto, ils suivent en effet une sorte d’animisme où de nombreux lieux ou objets de la nature (comme des montagnes, des rivières ou des vallées) possèdent une âme associée à une esprit, à une sorte de dieu.
Il existe à ce titre de nombreux (sans doute des centaines) dieux de la chance japonais.
Le principal reste toutefois le Fukusuke, une créature légendaire que l'on retrouve absolument partout au Japon.
Avec ses traits d’enfant au visage bourru et ses oreilles démesurément grandes, le nom du Fukusuke se traduit littéralement par « l’homme de la chance »… et cela décrit assez bien ce qu’il est !
Vendu sous forme de petites figurines porte-bonheur partout au Japon, ce dieu se trouve dans de millions de commerces et de maisons.
Les Shichifukujin, eux, forment un groupe plus éclectique de sept divinités japonaises.
Selon la légende, ils se regroupent la veille du nouvel an pour voyager ensemble sur leur Takarabune (navire au trésor), apporter chance, bonheur et prospérité partout où ils vont.
Ces sept divinités porte-bonheurs japonaises sont bien différentes les unes des autres, chacun étant lié à l’un des sept « trésors bouddhistes ».
L’un de ces sept Shichifukujin est tout de même plus associé à la chance que les autres. Il s’agit de Daikokuten, aussi connu sous le nom de Daikoku.
Symbole de richesse et de prospérité (notamment pour le monde agricole), Daikoku est l’un de dieux les plus vénérés dans les campagnes japonaises.
Les histoires au cours desquels il apparait, aidant tel marchant à faire l’affaire de sa vie, ou indiquant à tel fermier où planter pour obtenir des récoltes miraculeuses ne manquent pas.