Le porte-bonheur tibétain : spiritualité et haute vibration
Beaucoup de gens pensent qu'un porte-bonheur tibétain a forcément une haute valeur spirituelle. Nous partageons cet avis.
Si vous posez la question à des passants dans la rue, vous verrez que pour beaucoup d'entre eux, porte-bonheur tibétain rime avec efficacité. De notre côté, on ne pourrait pas vraiment leur donné tord.
Des religions parmi les plus intéressantes ont émergés des montagnes de l'Himalaya. Vous connaissez sans doute déjà le Bouddhisme tibétain, avec son plus grand représentant le dalaï-lama.
Après quelques recherches, une évidence saute aux yeux de toute personne ayant un peu de jugeote : le chemin qu'à pris cette branche du Bouddhisme n'est pas du au hasard. Elle fut (et d'ailleurs est toujours) influencée par une religion chamanique plus ancienne, le Bön.
Comme la plupart des mouvements animistes, le Bön faisait la part belle aux porte-bonheur et gri-gri en tout genre. Certains se sont intégrés au Bouddhisme, d'autres ont malheureusement disparus. Mélange harmonieux de diverses influences, la spiritualité de ce peuple est aujourd'hui reconnue comme une des plus aboutie. Les rites, coutumes et porte-bonheurs qui en sont issus se trouvent donc être d'une puissance rare.
C'est pourtant bien le Bouddhisme tibétain qui se trouve être la religion la plus pratiquée dans le pays (et de très loin d'ailleurs). Avec le célèbre Dalaï-Lama à sa tête, cette forme de spiritualité est aujourd'hui connue et respectée du monde entier.
Grâce à elle, les temples et stupas parcourent les montagnes, décorées de drapeaux colorés et où le son silencieux des moulins à prière fait vibrer les âmes.
Sans comprendre l'essence du Bouddhisme (qui vous êtes notamment transmise ici), impossible donc de comprendre celle du Tibet.
Amulette, collier ou bracelet, il y a aussi dans ce pays une tradition d'artisanat religieux dont la renommée à dépassé de très loin les montagnes de l'Himalaya.
Attention nous nous devons toutefois de vous mettre en garde. Énormément de courants ont surfé sur cette vague. Il y a du bon comme du mauvais, mais il est toujours bon de garder prudence...
En conclusion, si l'on garde son esprit critique affûté et que l'on se protège des influences néfastes, s'intéresser au Tibet apportera des éléments étonnamment nouveaux et pertinents dans la vie de la plupart des gens. Il en va de même pour les porte-bonheurs tibétains dont l'efficacité n'est clairement plus à prouver.
Le bracelet mala : un porte-bonheur tibétain emblématique
Le bracelet mala est un outil bouddhiste très populaire au Tibet constitué d’une centaine de perles, un peu à la manière d’un chapelet.
Ce bijou très spirituel est traditionnellement utilisés au cours de prières et de méditations, en groupe ou en solitaire.
En fait, les pouvoirs des bracelets malas servent aux yogis et autres apprentis sur le chemin d’une plus grande spiritualité depuis des milliers d’années.
L’utilisation de ce porte-bonheur tibétain permet en effet de garder son esprit « focus » et concentré.
Pour de nombreux pratiquants des philosophies orientales, le simple fait de porte un tel bracelet porte-bonheur autour du poignet ou du cou permet de se reconnecter à l’essentiel et d’atteindre nettement plus facilement les états méditatifs ou de transe recherchés par leur pratique.
Bref, le terme mala est un dérivé du mot sanskrit « Japamala », qui sert basiquement à désigner des colliers ou bracelets faits d’un grand nombre de perles.
Un bracelet mala de base aura 108 perles, ce qui en fait un bijou d’une certaine taille, c’est clair.
Il faut savoir que le choix de ce nombre n’est pas un hasard : au Tibet, 108 se retrouve en de nombreux endroits.
Déjà, il y a 108 lettres dans l’alphabet sanskrit. Ensuite, nous trouvons 108 upanishads (des textes sacrés) dans la tradition bouddhiste tibétaine. Les sages de l’Himalaya ont également dénombrés 108 centres énergétiques dans l’homme.
Vraiment, ce nombre de 108 ne peut que donner une force particulière aux porte-bonheurs tibétains que sont les bracelets malas !
Profitez du pouvoir de puissants mantras avec les drapeaux de prière
En apparence, les drapeaux de prière tibétains peuvent sembler n’être que de simples morceaux de tissus rectangulaires colorés que nous accrochons dans nos jardins ou à nos balcons pour « faire joli ».
S’arrêter à cela serait une grave erreur.
En fait, la présence de ces drapeaux porte-bonheurs tibétains permet de renforcer la sagesse, la compassion et l’accession à la paix tout les êtres vivants autour.
Pour comprendre la portée de ces drapeaux, il faut notamment s’intéresser à ce qui se trouve dessus.
Si vous regardez bien, vous verrez la plupart de vos drapeaux décorés de mantras (comme le célèbre Om Mani Padme Hum), de symboles religieux tibétains et de prières. Chacun de ces éléments a son importance.
Pour appréhender leur sens profond, il faut aussi s’intéresser à leur histoire.
Selon une légende populaire au Tibet, les premiers drapeaux de prière auraient été utilisés par Gautama Bouddha, l’homme à l’origine de la philosophie bouddhiste.
Nous savons toutefois par l’archéologie que ces drapeaux porte-bonheurs étaient présents au Tibet des siècles déjà avant la naissance de cet homme illustre.
Les religions chamaniques tibétaines, notamment le Bön ont en effet utilisé le même genre de décoration au cours de leurs rituels et cérémonies.
Enfin, pour savoir comment les drapeaux tibétains vont pouvoir vous aider, il faut comprendre leur mode de fonctionnement.
Pour faire simple, les mantras et symboles sacrés inscrits dessus seront comme « portés » par le vent et répandrons ainsi leurs vibrations positives.
Très clairement, si vous avez déjà passé une après-midi à côté de ce type de porte-bonheur tibétain, vous ne pouvez pas dire que l’endroit n’était pas apaisant, rassurant.
Le thangka, un autre type d’étendards au pouvoirs puissants
La peinture sur thangka est un ancien type d'art tibétain, qui fut perpétué dans la région himalayenne durant plus de deux mille ans.
Un tangkha est en fait une sorte de peinture ayant non encadré destinée à être roulée pour être transportée de village en village. Forcément, cela implique des techniques particulières pour s’assurer que la toile ne s’abime pas trop rapidement.
Comme il s'agit de peintures sur rouleaux, il fallait utiliser des couleurs vives pour s’assurer que les pigments de partant pas au bout de quelques mois. Cette contrainte a ainsi créé un art tout simplement magnifique aujourd’hui réputé dans le monde entier.
Au niveau de leur utilisations, ces peintures porte-bonheurs tibétaines ont pu servir comme outil de méditation, pour partager les enseignements bouddhistes au peuple analphabète, à rendre hommage à certains dieux ou esprits, ou encore à aider ceux qui la regardaient (physiquement comme spirituellement).
Souvent, les thangkas représentent des symboles bouddhistes tibétaines sacrés, comme par exemple les roue de la vie (ou samsara), les huit auspicieux (huit symboles porte-bonheurs bien connu au Tibet) ou des images des différents Bouddha.
En tout cas, une chose est sûre : entre les thangkas et les drapeaux de prière, nous pouvons établir un lien direct entre la culture tibétaine et l'utilisation de bannières et d'étendards (dont vous trouverez de nombreux exemplaires ici).
Moulin de prière et bols chantants : le pouvoir des vibrations
Si il y a bien une chose à retenir des porte-bonheurs tibétains en général, c’est le pouvoir intense des vibrations.
Avant d'aller plus loin, sachez qu'une partie de notre site est consacrée à la sonothérapie et aux pouvoirs des sons en général. Cela étant dit, continuons.
Les deux objets dont nous allons maintenant vous parler illustrent d’ailleurs le sujet à merveille.
Temples, autels, stupas : chaque lieu sacré du Tibet possède son propre moulin à prière.
Parfois petits et portables (comme ceux que nous proposons sur notre boutique) ou au contraire haut de plusieurs mètres, cet type de porte-bonheur tibétain est tourné par des milliers (des millions ?) d’individus pour, à chaque fois, libérer le même pouvoir.
La tradition tibétaine nous apprend en fait qu’utiliser un moulin à prière gravé de mantras ou de prières particulières produit exactement le même effet que vous si les répétiez. En faisant vibrer l’air tout en dégageant une certaine intention, l’énergie libérée serait bien la même… Intéressant.
En tout cas, une chose est sûre : les moulins à prières sont utilisés par de nombreux Tibétains dans leurs pratiques religieuses quotidiennes. Les plus fidèles d’entre eux font même tourner les moulins à prières des heures durant, accumulant ainsi un bon karma et se purifiant de leurs mauvaises actions.
Autre outil de méditation majeur au Tibet, le bol chantant est fait d’une sorte de cloche que le pratiquant frappe avec un maillet pour le faire vibrer, produisant alors un son particulier. (En réalité, la forme du bol est minutieusement calculé pour produire une vibration précise).
La thérapie sonore avec des bols chantants tibétains est une forme de guérison très ancienne pratiquée depuis des siècles en Asie.
Pour faire simple, nous utilisons aujourd’hui ce type de bol porte-bonheur tibétain pour soulager le stress, réduire certains types de douleurs et accélérer les processus de guérison naturels du corps.
Des études scientifiques récentes ont d’ailleurs confirmés que, oui, l’utilisation de bols chantants avait un véritable effet sur nos ondes cérébrales, recalibrant nos vibrations vers des niveaux plus équilibrés.